Une technologie d'IA louvaniste pour détecter plus rapidement et plus précisément des pathologies gynécologiques
Les scanners, les IRM, les biopsies et les échographies sont utilisés pour identifier entre autres les cancers des ovaires et du col de l’utérus. Gynaia, un nouveau spin-off de la KU Leuven et de l'UZ Leuven, travaille sur une plateforme d'IA qui doit aider à analyser les échos plus rapidement et plus précisément.
Évidemment, plus un cancer est diagnostiqué tôt, mieux c'est. Actuellement, Gynaia lève 2,3 millions de capital de départ qui seront utilisés pour développer un logiciel et une technologie d'IA qui permettra aux médecins de trier, d'interpréter et de contrôler plus correctement les photos sonores. L'objectif est d'intégrer la plateforme dans la pratique clinique par le biais de formations. Les premiers résultats visibles sont espérés pour 2025 encore.
Établie en Flandre et aux États-Unis, Gynaia vise les investisseurs internationaux, mais la recherche et le développement se feront principalement en Belgique.
Une promesse d'avancée qui est la bienvenue dans la médecine féminine.