Bruxelles sera bientôt une zone de basses émissions

08/11/2017

La Région Bruxelloise a décidé d’agir afin d’améliorer la qualité de l’air dans la capitale. Elle compte, pour y arriver, devenir une zone de basses émissions.

L’air de la capitale est fortement pollué. Le nombre de voitures y circulant, ainsi que leur ancienneté, en est en grande partie responsable. Pour faire face à ce problème, la ville a décidé de se transformer en zone de basses émissions, ou LEZ (low emission zone). Cette appellation signifie que les véhicules les plus polluants seront interdits d’accès à l’intérieur de cette zone délimitée.

Concrètement, les interdictions par catégorie de véhicule arriveront petit à petit, selon l’ancienneté des modèles. Dès 2018, les véhicules les plus polluants, et donc les plus anciens, seront interdits. C’est donc les voitures diesel immatriculés avant 1997 qui seront les premiers à partir.

Une telle mesure est importante. La pollution a de nombreuses conséquences néfastes sur la santé de chacun, mais surtout sur celle des personnes âgées, des enfants et des personnes malades. Un air pollué augmente les risques de troubles et affections respiratoires, d’irritation des yeux et des parois nasales, et diminue les capacités respiratoires, entre autres. L’interdiction de certains véhicules sera donc un changement bénéfique pour la qualité de l’air et la santé de tout un chacun.

Pour savoir quels véhicules sont concernés, ou pour toute autre information complémentaire, visitez http://lez.brussels.