Le sentiment de bonheur est déterminé par la santé physique et financière

12/12/2017

Le Belge associe le bonheur de vivre à la bonne santé physique et financière, à la famille et à la vie sociale. Pour plus de la moitié d’entre-eux le fait d’avoir des enfants n’est pas indispensable au sentiment de plénitude. Telles sont les lignes de force d’une enquête qui vient d’être réalisée et publiée par une société d’étude de marché, GfK, qui a interrogé plus de 1.000 Belges.

La santé physique et financière prime donc. Le temps que l’on peut accorder à ses passe-temps ou passions ainsi que la propriété immobilière ont également une bonne cote dans la liste des souhaits. Quatre facteurs importants dont les Belges espèrent plus que la moyenne des autres 16 pays interrogés. Le bonheur conjugal, les voyages d’agrément, pouvoir prendre sa vie en main et exercer un travail passionnant contribuent au sentiment de bonheur.

Qu’est ce qui n’est donc pas prioritaire pour les Belges? Avoir des enfants, comme déjà dit, ou posséder un espace extérieur : un petit jardin ou une terrasse. L’enrichissement spirituel, la possession d’une voiture de luxe ou d’électronique dernier cri ne les préoccupent pas trop.

GfK a effectué une étude en ligne pour cette enquête auprès de 23.000 personnes de 17 pays, dont 1.009 en Belgique.