Le port d'Anvers émettra bientôt 400 000 tonnes de CO₂ de moins par an grâce à la scale-up Qpinch.

05/07/2021

La neutralité carbone d'ici 2050 est l'objectif du port d'Anvers. La scale-up Qpinch à Anvers l'aidera à poursuivre son chemin avec 400 000 tonnes de CO₂ en moins par an. Et l'Europe a vu que c'était juste...

La neutralité carbone d'ici 2050 est l'objectif du port d'Anvers. La scale up Qpinch à Anvers l'aidera à poursuivre son chemin avec 400 000 tonnes de CO₂ en moins par an. Et l'Europe a vu que c'était juste...

 

L'adénosine triphosphate est le mot clé. Toutes les cellules animales et végétales l'utilisent pour produire de l'énergie. Qpinch se tourne vers la nature pour en appliquer les avantages à l'industrie. Concrètement, la chaleur résiduelle dégagée par l'activité industrielle n'est plus perdue comme par le passé, mais est réutilisée pour produire de la chaleur nouvelle. Pour le seul port d'Anvers, cela représenterait 400 000 tonnes de CO₂ en moins par an, soit l'équivalent de ce qu'émettent 250 000 voitures par an. Le défi est d'être prêt à la fois numériquement et écologiquement pour demain.

 

Outre le port d'Anvers, Qpinch compte dans son portefeuille un certain nombre de clients importants et réputés : BASF, l'autrichien Borealis, Total, ExxonMobil, Air Liquide, le japonais Kurarey et le géant chimique saoudien Sabic. En échange d'une poignée de millions d'euros de frais d'installation, ces entreprises pétrochimiques peuvent réduire considérablement leur empreinte carbone et la taxe correspondante. Ces derniers, d'ailleurs, peuvent augmenter de manière significative si les quotas autorisés sont dépassés.

 

Récolter le carbone de l'air, un projet de transition louable et ambitieux en prévision de l'élimination totale des combustibles fossiles par les énergies renouvelables.